Toute la vérité

Des travailleurs du milieu de la santé les mains brûlées par le gel désinfectant
Des travailleurs du milieu de la santé les mains brûlées par le gel désinfectant




Des travailleurs du milieu de la santé les mains brûlées par le gel désinfectant
"Ils mettent leur vie en danger chaque jour pour sauver celles de leurs patients."

On parle de nos anges gardiens et c'est une analogie parfaite lorsqu'on pense à ce qu'ils vivent chaque jour. Venir travailler la peur au ventre en espérant qu'ils ne rapporteront pas le virus à la maison pour contaminer leur famille, ceux qu'ils aiment. Les travailleurs du milieu de la santé sont nos héros.

Des journées de travail qui n'en finissent plus, difficilement gérable tant au niveau physique que psychologique.

C'est un métier qu'ils ont choisis parce qu'ils veulent aider et prendre soin des autres.

Alors qu'au Québec nous tentons par tous les moyens de stopper la propagation du virus, l'Europe est en pleine crise et les morts se font par centaine à chaque jour.

Le Parisien a voulu souligner le travail de deux membres du personnel de la santé qui travaillent très fort. Marlène Cré est infirmière à l'hôpital de Corbeil-Essonnes et Cindy Beaufreton au Centre hospitalier Sud francilien.

Les deux femmes sont épuisées et comme elles se lavent les mains constamment avec du savon mais aussi avec un gel désinfectant très puissant, elles ont les mains quasi en sang.

Marlène Cré explique :





« ...des rougeurs qui apparaissent, des démangeaisons et des sensations de brûlure le soir quand on met de la crème… »

Même en tentant de les hydrater, rien ne fonctionne : « De toute façon, il n'y a pas 50 solutions. On serre les dents… et on se gratte. Parce que ça démange vraiment! »

Remercions le personnel qui travaille courageusement dans nos hôpitaux. Les médecins oui, mais aussi les infirmières, les préposés, les agentes administratives et ceux de l'entretien ménagé. Toutes ces personnes sortent tous les jours pour aller travailler en sachant très bien qu'ils peuvent être en contact avec le virus.



Source : Le Parisien & Facebook

Crédit photo : Facebook




Partager sur Facebook