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L'auteur de plusieurs agressions sexuelles à l'Université Laval, Thierno-Oury Barry, sera expulsé du Canada
L'auteur de plusieurs agressions sexuelles à l'Université Laval, Thierno-Oury Barry, sera expulsé du Canada




L'auteur de plusieurs agressions sexuelles à l'Université Laval, Thierno-Oury Barry, sera expulsé du Canada
"Pas une grande perte pour le Canada...Qu'en pensez-vous ?"

C’est dans un résidence étudiante de l’Université Laval du nom d’Alphonse-Marie-Parent que cet agresseur s’en est pris à plusieurs étudiantes, 12 exactement. 

« Il y a eu introduction par effraction avec commission d'un acte criminel, à savoir une agression sexuelle », a expliqué le porte-parole du Directeur des poursuites criminelles et pénales, Me René Verret, quand les 12 chefs d'accusation ont été portés contre Thierno-Oury Barry. « Compte tenu que ce sont des incidents qui ont eu lieu dans des maisons d'habitation, c'est passible de la prison à vie. Ça reflète la gravité objective du crime qu'on lui reproche. »

En mars 2018, Thierno-Oury Barry a été condamné à 3 ans de prison pour ses crimes et devait retrouver une semi-liberté le 29 janvier dernier même s’il avait agressé 12 femmes au total. 

Cependant, Thierno-Oury Barry a été remis à l’Agence des services frontaliers à sa sortie de prison car son visa d’étudiant avait été annulé.







Il tombe donc dans une « mesure d’expulsion » et a été conduit à la prison de Rivière-des-Prairies en attendant d’être renvoyé dans son pays d’origine la Guinée en Afrique. 

Il a finalement été expulsé du Canada une semaine plus tard après avoir purgé sa peine pour ses crimes.

Le pays d’où vient Thierno-Oury Barry est très loin d’avoir les conditions de la femme dans leurs priorités.

Voici ce qu’on peut lire sur Wikipédia à ce sujet :

« Le gouvernement adhère à la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes depuis 1982. 97 % des femmes et des filles âgées de 15 à 49 ans ont subi des mutilations génitales féminines et/ou une excision. Les mutilations génitales augmentent en Guinée, bien qu'elles soient interdites. »

« La polygamie est la règle, bien qu'elle soit officiellement interdite. Dans le code civil il est dit dans l'article 394 que le mari est le chef de famille. Les mariages précoces sont fréquents, mais illégaux. Bien qu'illégal, le mariage forcé affecte la majorité des femmes. Toutefois, beaucoup de mariages au pays sont des mariages religieux, dans lesquels les autorités civiles n'interviennent pas. La majorité des femmes a été affectée par la violence conjugale. »

Pas une grande perte pour le Canada n’est-ce pas?



Source: tvanouvelles

Crédit photo : Capture d'écran / tvanouvelles




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