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La fille est sanctionné pour avoir frappé son camarade d'école mais la réaction de sa mère prend le directeur par surprise
La fille est sanctionné pour avoir frappé son camarade d'école mais la réaction de sa mère prend le directeur par surprise




La fille est sanctionné pour avoir frappé son camarade d'école mais la réaction de sa mère prend le directeur par surprise
"Une belle leçon..Saluons le courage de cette mère !"

Nous vivons dans une époque où la sexualité est souvent banalisée. On se demande alors où commence le droit d’une personne de se défendre de gestes qu’elle considère inappropriés. L’agresseur quant à lui, a-t’il des droits? Encore faut-il reconnaitre son geste comme une agression de nature sexuelle. Je vous raconte une histoire s’étant déroulé dans une école américaine. 



Une mère reçoit un téléphone de l’école parce que sa fille aurait frappé un garçon. À son arrivée, elle constate que le garçon a agressé sa fille, mais que le point de vue de l’école est complètement différent de ce à quoi elle se serait attendue. Elle décida donc de prendre les choses en main. La violence n’est pas une solution, n’empêche que dans certaines situations, cela peut être le seul moyen à sa disposition pour se défendre et cette maman l’avait bien compris.

Elle écrivit ceci sur le site Web Not always right :







« Je suis une infirmière aux urgences. Nous ne sommes pas autorisés à utiliser nos téléphones, ils doivent être gardés dans nos casiers. Un appel pour moi arriva à la réception de l’hôpital sur une ligne privée. »

L’école lui apprit alors qu’un incident impliquant sa fille était arrivé et qu’elle devait se présenter rapidement. Inquiète, elle demande si celle-ci était blessée car son service finissait deux heures plus tard. L’école lui annonça que sa fille a avait frappé un autre élève et que c’était sérieux. Elle se rendit rapidement à l’école inquiète. Lorsqu’elle entra dans le bureau du directeur, elle vit sa fille accompagnée du directeur, d’un professeur, d’un garçon avec un nez en sang et de ses parents. Le directeur la remercia d’être venue rapidement, elle leur répondit alors :

« Oui, les choses s’emballent aux urgences. J’ai passé la dernière heure à administrer plus de 40 points de suture à une fillette de sept ans qui a été battue par sa mère avec une louche en métal et j’ai ensuite dû traiter avec la police à ce sujet. Désolé pour le dérangement. »

Le directeur lui raconta alors ce qui s’était passé. Le garçon avait « twitté » sur le soutien-gorge de sa fille et elle s’était défendue en lui donnant deux coups de poing au visage. En racontant cette histoire, la mère constata que les personnes présentes semblaient accuser sa fille plutôt que de voir cet acte comme une agression du garçon envers celle-ci. 

« Oh. Et vous voulez savoir si je vais porter plainte contre lui pour avoir agressé sexuellement ma fille et contre l’école pour l’avoir autorisé à le faire ? », dit-elle, rendant soudainement tout le monde nerveux. 

« Je ne pense pas que ce soit si grave. Ne réagissons pas trop. Je pense que vous manquez le point. »,affirma le directeur. 

Elle demanda alors à se fille de s’expliquer :

« Il a continué à s’en prendre à mon soutien-gorge. Je lui ai demandé d’arrêter mais il ne l’a pas fait, alors j’ai dit à Monsieur [Maître]. Il m’a dit de «l’ignorer». [Garçon] a recommencé et a défait mon soutien-gorge alors je l’ai frappé. Puis il s’est arrêté. »

Elle se tourna alors vers l’enseignant : 

« Vous l’avez laissé faire ça ? Pourquoi ne l’avez-vous pas arrêté ? Venez ici et laissez-moi toucher le devant de votre pantalon. »

L’enseignant répondit bien sûr dit non avec empressement.

« Cela vous semble-t-il inapproprié ? Pourquoi n’allez-vous pas tirer sur le soutien-gorge de Mme [enseignante bis] dès maintenant ? Voyez comme c’est amusant pour elle. Ou sur le soutien-gorge de la maman de ce garçon. Ou le mien. Vous pensez juste que parce que ce sont des enfants c’est marrant? », demanda la mère. 

Et le directeur de répondre : « Avec tout le respect que je vous dois, votre fille a encore frappé un autre enfant ». 

Fâchée, la mère répondit : « Non. Elle s’est défendue contre une agression sexuelle d’un autre élève. Regarde-les ; Il est bien plus grand qu’elle et est deux fois plus lourd. Combien de fois aurait-elle dû le laisser la toucher ? Si la personne qui était censée l’aider et la protéger dans une salle de classe ne voulait pas être dérangée, qu’aurait-elle dû faire ? Il a tiré son soutien-gorge si fort qu’il s’est défait. »

À ce moment, les parents du garçon semblent mal à l’aise. La mère pleure et le père hésite entre la colère et la honte. Le professeur regarde ailleurs, incapable de la regarder dans les yeux.

La maman termina en leur disant ceci : « Je la ramène à la maison. Je pense que le garçon a appris sa leçon. Et j’espère que rien de semblable ne se reproduira, non seulement pour ma fille, mais pour n’importe quelle autre fille de cette école. Vous ne le laisseriez pas le faire à un membre du personnel alors pourquoi peut-il le faire à une fille de 15 ans ? Je rapporterai ceci aux gouverneurs. Et si touches ma fille encore une fois, je te ferai arrêter pour agression sexuelle. Me comprends-tu ? »

Elle rassembla alors les affaires de sa fille et quitta l’établissement accompagnée de celle-ci. Elle signala par la suite l’évènement au Conseil des gouverneurs pour que ceux-ci traite le sujet sévèrement.

Le harcèlement sexuel sous toutes ses formes est inacceptable. Nous saluons le courage de cette mère à s’être tenue debout. Partager cette histoire pour que des situations semblables ne puissent se reproduire.



Source : laowl & Not always right




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