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Une journaliste remet fermement Gilbert Rozon à sa place...
Une journaliste remet fermement Gilbert Rozon à sa place...




Une journaliste remet fermement Gilbert Rozon à sa place...
"''On dirait que monsieur Rozon a la mémoire courte.''"

Le monde de Gilbert Rozon s'est écroulé quand les allégations d'inconduites sexuelles qu'il aurait commises ont été dévoilées au grand jour: Plus encore quand de véritables plaintes d'agression ont été déposées contre lui aux autorités. Le fondateur de Juste pour Rire est en train de tout perdre, et il est la risée de tout le Québec depuis. D'ailleurs, l'entreprise est à vendre. 



De passage au Palais de Justice de Montréal mercredi, il a nié ce qui pesait contre lui, en plus d'affirmer qu'il avait quitté son entreprise à cause ''de la folie et l'hystérie médiatique''. Au 98.5 FM, Monic Néron a été particulièrement outrée, alors qu'elle a travaillé sur l'enquête du Devoir et du 98.5 FM. 



On vous laisse lire un petit bout de l'entrevue, question de voir ce qu'elle pense des propos de l'homme d'affaires:








''Je trouverais que ça méritait des éclaircissements et un rappel de la chronologie de ce qui s'est passé l'automne dernier parce qu'on dirait que monsieur Rozon a la mémoire courte.[...]



Le soir du 18 octobre, la veille de la diffusion des témoignages, on est ici au 98,5 dans un petit quartier général improvisé dans le bureau de la direction, et on appelle Monsieur Rozon à 5 numéros différents; cellulaire, Québec, France, résidence, Québec, France, parce qu'on savait qu'il était en Europe à ce moment-là et Juste pour rire, le relationniste, nous rappelle peu de temps après, et c'est là ou on a résumé les allégations. 



On a fait un petit ¨wrap-up¨ de ce que nous avions recueilli, et de ce que nous nous apprêtions à dévoiler le lendemain matin. Deux heures plus tard, il décide de démissionner de la chambre de commerce, de Juste pour rire, des fêtes du 375e avant même d'avoir entendu les témoignages, donc la folie médiatique, l'hystérie médiatique dont il parle, elle est venue après, parce que dans les faits, c'est basé sur ce que nous lui avons transmis via son relationniste, il savait que ça s'en venait, que ça allait sortir le lendemain et prend cette décision.''




Oops ! On dirait bien qu'il y a une légère incohérence entre les gestes et la parole ! Vous pouvez écouter l'entrevue juste ici: 





Source: RadioEgo 




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